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Grossesse pollution et particules fines, Augmentation des admissions de nouveau-nés à l’unité de soins intensifs néonatals

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Mots clés : diabète gestationnel, grossesse, naissance prématurée, particules fines, pré-éclampsie, tension artérielle, États-Unis.

D’après une analyse par des chercheurs aux instituts nationaux de santé, les nourrissons nés de femmes enceintes exposées à des niveaux élevés de pollution atmosphérique dans la semaine précédant l’accouchement sont plus susceptibles d’être admis à une unité de soins intensifs néonatals de leur nouveau-né. Selon le type de pollution, la probabilité d’admission à l’unité de soins intensifs augmente de près de 4% et va jusqu’à 147% !, comparée à celle des nourrissons dont les mères n’ont pas été exposées à des niveaux élevés de pollution atmosphérique durant la semaine avant l’accouchement. L’étude a été menée par Pauline Mendola, de la division d’épidémiologie à l’institut national Eunice Kennedy Shriver de la santé des enfants et du développement humain (membre du réseau de la NIH). Elle a été publiée dans la revue Annals of Epidemiology.

« L’exposition à court terme à la plupart des types de polluants atmosphériques pourraient augmenter le risque d’admission à l’unité de soins intensifs », dit le Dr. Mendola. « Si nos découvertes sont confirmées, ils suggèrent que les femmes enceintes devraient considérer limitant le temps passé à l’extérieur de chez elles quand les alertes sur la qualité de l’air annoncent des conditions insalubres ».

Risque de la pollution pour la mère et le bébé

Des études précédentes ont lié les niveaux élevés des certains types de polluants atmosphériques à des risques plus élevés de diabète gestationnel et de pré-éclampsie, un trouble de la tension artérielle en période de grossesse. Les recherches antérieures ont aussi montré que les nourrissons nés de femmes enceintes exposées à des niveaux élevés de polluants atmosphériques courent un risque de naissance prématurée, d’être petit pour leur âge gestationnel à la naissance et d’avoir une croissance plus lente que la normale dans l’utérus. Étant donné ces associations, les auteurs de l’étude ont cherché à déterminer si l’exposition prénatale à la pollution atmosphérique pourrait augmenter la probabilité d’admission des nouveau-nés à l’unité de soins intensifs néonatals.

L’étude

Les chercheurs ont analysé des données de consortium sur le travail sûr, qui a compilé des informations sur plus de 223000 naissances à 12 sites cliniques aux États-Unis de 2002 à 2008. Ils ont lié les dossiers de plus de 27000 admissions de nouveau-nés à l’unité de soins intensifs néonatals au données modifiées du système communautaire de modélisation multi-échelle de la qualité de l’air, qui estime les concentrations de pollution environnementale aux États-Unis. Les chercheurs ont croisé les données sur la qualité de l’air dans la zone où chaque naissance a eu lieu à la semaine avant l’accouchement, la veille l’accouchement et le jour de l’accouchement. Ils ont ensuite comparé ces intervalles de temps au données sur la qualité de l’air deux semaines avant l’accouchement et deux semaines après l’accouchement pour identifier le risque d’admission du nouveau-né à l’unité de soins intensifs néonatals associé avec les niveaux de pollution.

Figure 1: Rapport de risque d'admission du nouveau-né en néonatalité pour une exposition à la pollution un jour avant, ou le jour de l'accouchement.

Figure 1: Rapport de risque d’admission du nouveau-né en néonatalité pour une exposition à la pollution un jour avant, ou le jour de l’accouchement.

Les chercheurs ont aussi examiné les chances d’admission de nouveau-nés à l’unité de soins intensifs néonatals associés avec des concentrations élevées de particules fines de moins de 2,5 microns de diamètre (PF2.5). Ces types de particules proviennent de diverses sources, parmi eux les moteurs diesel et les moteurs à essence, les centrales électriques, les décharges, les unités de traitement des eaux usées et les processus industriels. L’exposition à des fortes concentrations de composés organiques dans l’air a été associée avec une augmentation de 147% du risque d’admission du nouveau-né à l’unité de soins intensifs néonatals. Le carbone élémentaire et l’ammonium ions ont présenté des augmentations similaires de ce risque (38% et 39%, respectivement), alors que l’exposition aux composés de nitrate a été associée avec une augmentation de 16% du risque d’admission du nouveau-né à l’unité de soins intensifs néonatals.

Les chances d’admission de nouveau-nés à l’unité de soins intensifs néonatals ont augmenté de manière significative avec des expositions aux polluants liés à la circulation la veille et le jour de l’accouchement, comparé à la semaine avant l’accouchement. Les chiffres sont de 4% et 3% respectivement, pour une augmentation approximative de 300 parties par million (ppm) du monoxyde de carbone ; 13% et 9% pour une augmentation approximative de 26 ppm du dioxyde d’azote ; et 6% et 3% pour une augmentation approximative de 3 ppm du dioxyde de soufre.

Pollution et effet sur le placenta !

Les chercheurs ne savent pas pourquoi l’exposition à la pollution atmosphérique pourrait augmenter les chances d’admission de nouveau-nés à l’unité de soins intensifs néonatals. Ils théorisent toutefois, que les polluants augmentent l’inflammation, menant à une perturbation de la croissance des vaisseaux sanguins, particulièrement dans le placenta, qui alimente le foetus en oxygène et en nutriments.

Prix d’une journée en néonatologie

Les auteurs notent que l’augmentation des taux d’admissions de nouveau-nés à l’unité de soins intensifs néonatals pose des défis financiers aux familles et à la société, vu que les coûts quotidiens moyens des soins intensifs pour nouveau-nés pourraient atteindre ou dépasser $3,000. Si leurs résultats sont confirmés par d’autres études, limiter l’exposition des femmes enceinte aux niveaux élevés de polluants atmosphériques pourraient fournir une façon de réduire les admissions de nouveau-nés à l’unité de soins intensifs néonatals.

Abstract

L’exposition à une pollution aiguë de l’air et l’admission de nouveau-nés à l’unité de soins intensifs néonatals : Une analyse de cas croisés

Auteurs: Indulaxmi Seeni, Andrew Williams, Carrie Nobles, Zhen Chen, Seth Sherman, Pauline Mendola.

Revue: Annals of Epidemiology.

Date: Juillet 2019.

Contexte : Les taux d’admission à l’unité de soins intensifs néonatals (USIN) ont augmenté au fil du temps. La pollution atmosphérique est associée avec des résultats de grossesse négatifs mais la relation entre l’exposition prénatale à la pollution atmosphérique et l’admission à l’USIN n’a pas été étudiée.

Méthodes : Dans le consortium sur le travail sûr (2002-08), 27189 grossesses monofœtales ont été admises à l’USIN. Des modèles multi-échelle modifiés de la qualité de l’air de la communauté ont estimé les expositions à des polluants atmosphériques présélectionnés et aux éléments constitutifs des particules fines ≤2.5 microns (PF2.5). Les analyses de cas croisés ont calculé les rapports de côtes et leurs intervalles de confiance de 95% pour l’augmentation de l’écart interquartile dans l’exposition aux polluants, comparant les expositions durant la semaine de l’accouchement aux périodes de contrôle avant et après l’accouchement.

Résultats : Dans les modèles ajustés pour les éléments PM2.5, l’exposition aux particules fines PM2.5 durant la semaine avant l’accouchement avait une association très importante avec une probabilité accrue d’admission à l’USIN. Les chiffres sont les suivants :

• Carbone élémentaire (35%).

• Ions d’ammonium (37%).

• Composés du nitrate (16%).

• Composés organiques (147%).

• Composés du sulfate (35%).

Les probabilités ont aussi augmenté de manière significative pour les expositions au jour de l’accouchement et le jour d’avant le jour de l’accouchement au :

• Monoxyde de carbone (4-5%).

• Dioxyde d’azote (13%).

• Oxydes d’azote (4-8%).

• Dioxyde du soufre (3-6%).

• Particules ≤10 microns (2%).

• Particules ≤2.5 microns (2%).

Aucunes associations n’ont été constatées pour l’ozone.

Conclusions : Les expositions aiguës aux particules fines de taille inférieure à 2,5 microns ainsi qu’à plusieurs polluants liés à la circulation durant la semaine avant l’accouchement, le jour de l’accouchement, et le jour avant l’accouchement semble augmenter les chances d’admission à l’unité de soins intensifs néonatals. Ces nouvelles associations suggèrent que les nourrissons exposés in utéro à des polluants communs de l’air pourraient exiger des soins supplémentaires durant l’admission hospitalière du nouveau-né.

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